Par : The Sunday Edition, CBC Radio
Découper, brûler et empoisonner. Pendant des décennies, ces méthodes étaient en grande partie les seules méthodes de traitement offertes pour le cancer. Mais la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie n’offrent pas d’espoir à tous les patients atteints de cancer, et ces traitements rendent souvent malades même ceux dont le cancer est en rémission.
Il n’est donc pas surprenant que l’émergence d’un quatrième pilier de la thérapie anticancéreuse – l’immunothérapie – ait suscité l’enthousiasme des scientifiques, des patients et de l’ensemble de la communauté médicale.
L’explosion de la recherche et de l’expérimentation en immunothérapie a tellement transformé la médecine que son importance pour le cancer est comparée à la découverte de la pénicilline. Cependant, les patients ne répondent pas tous de manière positive à l’immunothérapie, et des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre quels patients en bénéficient et pourquoi.
Stéphanie Michaud est présidente et chef de la direction de BioCanRx, un réseau canadien de scientifiques, d’intervenants du cancer, d’institutions universitaires et d’ONG travaillant à accélérer le développement des immunothérapies. Elle a parlé à l’animateur invité du Sunday Edition, David Gray, des promesses et de l’avenir de l’immunothérapie au Canada.
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(L’article et l’interview sont en anglais seulement.)