Présentation des lauréats des bourses d’études 2019 de BioCanRx

 

 

Nom : Alison Cudmore

 

Superviseure et établissement : Dre Barbara Vanderhyden, Université d’Ottawa

 

Titre du projet : Évaluation de l’infectivité de cellules cancéreuses ovariennes dérivées de patientes et de nouveaux vaccins oncolytiques

 

Profil : Je viens de terminer ma troisième année d’études en sciences biomédicales, avec une spécialisation en médecine cellulaire et moléculaire, à l’Université d’Ottawa. Lorsque je ne suis pas au laboratoire ou aux études, je suis habituellement à la piscine pour m’entraîner puisque je suis membre de l’équipe de natation universitaire de l’Université d’Ottawa. J’aime toujours passer du temps à l’extérieur, ici à Ottawa, et j’aime particulièrement faire du vélo le long du canal Rideau pour visiter le lac Dow en été.

 

Cet été, je travaillerai au laboratoire de Vanderhyden, qui a mis au point le virus oncolytique Maraba MG1 exprimant l’IL-15 et/ou l’IL-21. J’évaluerai l’infectivité des cellules cancéreuses ovariennes épithéliales avec ces variantes. L’objectif de cette recherche est de déterminer la proportion de ces cancers qui sont susceptibles d’être traités par le MG1.

 

La recherche en santé a toujours été un de mes grands intérêts, et j’espère que la recherche et la médecine feront partie de ma carrière. Je suis persuadée que les bases solides que j’acquiers grâce à mon expérience en laboratoire de premier cycle me seront très utiles dans mes projets futurs.

 

 

Nom : Ally More

 

Superviseure et établissement : Dr Jonathan Bramson, Université McMaster

 

Titre du projet : Comparaison des cellules TAC-T αβ et γδ pour le traitement du glioblastome

 

Profil : Je m’appelle Ally Moore, je suis étudiante de deuxième année en biochimie à l’Université McMaster et je travaillerai cet été au laboratoire du Dr Jonathan Bramson. Dans mes temps libres, j’aime faire des recherches sur des sujets scolaires et non scolaires qui m’intéressent, la cuisine, le plein air, les courses et la danse.

 

Le laboratoire Bramson a mis au point un nouveau récepteur d’antigène chimérique, connu sous le nom de récepteur d’antigène de couplage (TAC) de lymphocytes T. Les lymphocytes T dotés de récepteurs TAC (cellules TAC-T) réagissent fortement contre les tumeurs solides. Le laboratoire Bramson s’est associé au laboratoire de la Dre Sheila Singh (Université McMaster) pour étudier l’utilité des cellules TAC-T dans le traitement du glioblastome. Mon projet consistera à générer des cellules TAC-T αβ et γδ dirigées contre 3 cibles du glioblastome multiforme (GBM), les cibles CD133, IL13Rα2 et HER-2, et à évaluer leur fonctionnalité contre les cellules primaires du glioblastome.

 

Grâce à cette expérience, j’espère acquérir les compétences et les connaissances dont j’ai besoin pour établir les bases d’une carrière en recherche, puisque j’espère devenir un jour médecin-scientifique. Ce stage d’été me permettra de travailler avec des gens qui ont une immense expertise dans le domaine, et j’ai hâte de profiter de toutes les occasions d’apprentissage que m’offrira cette expérience.
 

 

 

Nom : Donald Bastin

 

Superviseure et établissement : Dre Rebecca Auer, Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa

 

Titre du projet : Immunogénicité modulante des vaccins à cellules infectées par un agoniste de TLR

 

Profil : Je suis étudiant en première année de médecine à l’Université Western Ontario. J’explore actuellement des spécialités et je m’intéresse beaucoup à l’oncologie, en particulier du point de vue chirurgical. En dehors des études universitaires, je suis un coureur et triathlète passionné et je m’entraîne actuellement pour mon quatrième marathon.

 

Cet été, mes recherches porteront sur l’amélioration de l’approche du vaccin à base de cellules infectées mise au point par le laboratoire Auer. Ce protocole consiste en l’administration de cellules tumorales irradiées par γ qui ont été infectées par un virus oncolytique, VSV-∆51. L’infection des cellules tumorales stimule avec puissance le système immunitaire pour qu’il réagisse contre les antigènes trouvés dans la tumeur par l’action de récepteurs de type Toll (TLR) sur les cellules dendritiques. Cependant, le VSV-∆51 n’engagera qu’un sous-ensemble de TLR possibles. Mes travaux viseront à stimuler d’autres récepteurs pour améliorer l’efficacité de la réponse antitumorale. Ce projet s’applique directement aux objectifs du laboratoire Auer d’activer le système immunitaire pour améliorer les résultats de la chirurgie du cancer.

 

Mon rêve de longue date est d’intégrer la recherche translationnelle en immunothérapie à ma future pratique clinique. Travailler avec l’équipe du Dr Auer m’offre une occasion incroyable d’apprendre d’un groupe à l’avant-garde de l’application clinique.

 

 

Nom : Emily Brown

 

Superviseure et établissement : Dr John Bell, Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa

 

Titre du projet : Création d’un nouveau virus oncolytique thérapeutique

 

Profil : Je suis à ma dernière année d’études du baccalauréat spécialisé en biochimie et biotechnologie à l’Université Carleton. Je terminerai mon stage d’été avec le Dr John Bell à l’Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa.

 

Je possède quatre ans d’expérience en recherche dans divers domaines et je suis tombée amoureuse de la recherche en immunothérapie contre le cancer après avoir passé un été à travailler avec les équipes du Dr Bell et du Dr Ilkow à l’IRHO. Lorsque je ne suis pas au laboratoire, je consacre mes temps libres à jouer de la musique, à m’occuper de mon chat ou à profiter du plein air.

 

Le laboratoire du Dr Bell se concentre sur la découverte, la caractérisation et l’optimisation des virus oncolytiques (VO) utilisés en immunothérapie du cancer. Les VO sont un puissant outil immunothérapeutique qui tue spécifiquement les cellules cancéreuses et active le système immunitaire pour stimuler des réponses antitumorales durables. Le but de mon projet d’été est de créer un nouveau VO capable de sensibiliser des lignées de cellules cancéreuses autrement résistantes à cette forme d’immunothérapie, ce qui augmentera la fréquence des traitements durables pouvant être appliqués en clinique.

 

Cette expérience m’aidera à réaliser mon rêve de poursuivre une carrière en recherche sur l’immunothérapie du cancer en me fournissant des compétences et une expérience précieuses et en me donnant la chance d’apprendre des membres de mon équipe.

 

 

Nom : Emily Ford

 

Superviseure et établissement : Dre Sheila Singh, Université McMaster

 

Titre du projet : Ciblage thérapeutique des cellules CD133 dans les métastases cérébrales du cancer du poumon

 

Profil : Je suis étudiante de quatrième année à l’Université McMaster au programme coopératif d’études en biologie chimique. J’ai récemment terminé ma thèse de spécialisation au laboratoire de la Dre Singh et j’ai hâte de travailler de nouveau à son laboratoire cet été. Ma thèse portait sur de nouvelles stratégies immunothérapeutiques ciblant le glioblastome multiforme (GBM), une tumeur cérébrale primaire courante chez l’adulte. Je suis enthousiaste à l’idée d’appliquer ce que j’ai appris pendant ma thèse à d’autres cancers du cerveau dans le cadre de mon projet d’été.

 

Les métastases cérébrales sont les tumeurs cérébrales les plus courantes chez l’adulte; elles sont associées à un pronostic grave et à un taux de survie globale médiane de quelques mois seulement. Il y a très peu d’options thérapeutiques pour les patients; de nouvelles stratégies thérapeutiques sont désespérément requises. Certaines métastases cérébrales expriment le CD133, un biomarqueur des cellules souches du cancer du cerveau. Mon projet explorera la faisabilité de cibler le CD133 sur les métastases cérébrales à l’aide des lymphocytes T à CAR.

 

Je suis fascinée par l’immunothérapie du cancer depuis plusieurs années. Je suis reconnaissante de l’occasion qui m’est donnée d’en apprendre davantage sur l’immunothérapie appliquée du cancer et j’espère poursuivre mes études dans ce domaine après avoir obtenu mon diplôme de premier cycle. Quand je ne suis pas au laboratoire, j’aime explorer le monde extérieur et apprendre l’espagnol.

 

 

Nom : Kitty (Zhe Qi) Liu

 

Superviseure et établissement : Dre Pamela Ohashi, Réseau universitaire de santé

 

Titre du projet : Ciblage moléculaire de la protéine Cbl-b pour améliorer la thérapie adoptive des lymphocytes T contre les tumeurs solides

 

Profil : Je m’appelle Kitty (Zhe Qi) Liu et je suis étudiante de quatrième année à l’Université de Toronto; je me spécialise en immunologie. Cet été, je suis très enthousiaste à l’idée de travailler au laboratoire de la Dre Ohashi où nous nous efforçons d’identifier différentes façons d’améliorer la réponse immunitaire au cancer. La thérapie des lymphocytes T adoptifs (ACT), une approche en immunothérapie, a atteint son plein potentiel dans de multiples tumeurs malignes; cependant, l’une des limites biologiques est la présence de cellules immunosuppressives dans le microenvironnement tumoral, comme les lymphocytes T régulateurs (Treg). Il est intéressant de noter que les lymphocytes T CD8+ déficients en protéine Cbl-b sont moins sensibles aux effets suppressifs des cellules Treg. Ainsi, mon projet vise à valider le potentiel thérapeutique du ciblage de la protéine Cbl-b pour rendre les lymphocytes T résistants aux effets suppresseurs des cellules Treg et, par conséquent, améliorer les ACT contre le cancer.

 

Grâce aux compétences et aux connaissances précieuses que j’acquiers dans le cadre de cette expérience de stage, j’espère être prête à poursuivre ma carrière en recherche au moment où j’entamerai ma première année de doctorat en immunologie à l’Université de Toronto après l’été. Lorsque je ne fais pas de la recherche, j’aime créer des graphiques pour différentes initiatives étudiantes sur le campus et apprendre de nouvelles mélodies à la guitare et au piano.

 

 

Nom : Michael Hall

 

Superviseure et établissement : Dre Megan Levings, Université de la Colombie-Britannique

 

Titre du projet : Élaboration de protocoles conformes aux BPF de lymphocytes T régulateurs dérivés du thymus pour la thérapie cellulaire

 

Profil : Je suis en quatrième année d’études en microbiologie et immunologie à l’Université de la Colombie-Britannique. Pendant mon stage, je travaillerai au laboratoire de la Dre Megan Levings de l’Hôpital pour enfants de la Colombie-Britannique. Ce laboratoire étudie les lymphocytes T régulateurs CD4+ qui jouent un rôle important pour le maintien de la tolérance immunitaire. Le laboratoire s’intéresse vivement à la mise au point de méthodes de production in vitro de lymphocytes T régulateurs destinés à la thérapie cellulaire pour le traitement de la maladie du greffon contre l’hôte et de l’auto-immunité.

 

Lorsque je ne suis pas au laboratoire, je joue au soccer dans la ligue de soccer masculin de Vancouver et je suis également entraîneur de soccer au club Coastal FC. J’aime aussi aller à la montagne en hiver pour faire du ski et de la planche à neige. Cet été, je participerai à l’élaboration de procédures opératoires normalisées pour maximiser l’expansion des cellules régulatrices du thymus tout en m’assurant que nos produits à base de cellules Treg sont purs. Un autre élément de ce projet est l’optimisation de la cryoconservation des cellules pour le stockage. L’optimisation des conditions d’expansion et de cryoconservation nous permettra de créer un protocole conforme aux BPF qui pourra être utilisé dans le cadre d’un essai clinique. Cette expérience me permettra de développer et d’améliorer mes compétences en laboratoire tout en me donnant un aperçu du processus des essais cliniques.

 

 

Nom : Mohammad Javad Niazmand

 

Superviseure et établissement : Dr Dean Fergusson et Dr Manoj Lalu, Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa

 

Titre du projet : Applications cliniques de thérapies très prometteuses

 

Profil : Je m’appelle Mohammad Javad Niazmand et je termine ma première année de médecine à l’Université d’Ottawa. Lorsque je ne suis pas aux études, j’aime regarder des événements sportifs et faire du sport avec mes amis, explorer la ville d’Ottawa et entraîner des élèves de niveau intermédiaire dans la région d’Ottawa.

 

La recherche à laquelle je participerai en tant que membre de l’équipe du Dr Lalu et du Dr Fergusson sera axée sur la compréhension des facteurs qui contribuent à la réussite de l’application des études précliniques aux applications cliniques. Plus précisément, je procéderai à un examen systématique qui permettra de recueillir un échantillon de publications sur la recherche fondamentale dans des revues à facteur d’impact majeur afin de déterminer combien de découvertes précliniques prometteuses ont été mises à l’essai chez des patients et combien ont été transformées en traitements approuvés sur le plan clinique.

 

Une meilleure compréhension des facteurs qui augmentent ou diminuent la probabilité de réussite clinique à long terme nous permettra de mieux répartir les ressources de recherche et de donner aux chercheurs des outils et des stratégies facilitant le cheminement des découvertes du laboratoire au chevet du patient. Je crois que ce projet m’aidera à comprendre comment je peux contribuer à la recherche qui améliorera les soins aux patients.

 

 

Nom : Natalya Patrick

 

Superviseure et établissement : Dr Brad Nelson, Université de Victoria

 

Titre du projet : Mise au point de nouveaux récepteurs chimériques pour améliorer l’activité antitumorale des lymphocytes T

 

Profil : J’entreprendrai ma quatrième année d’études en biochimie à l’Université de Victoria. Cet été, je travaillerai avec le Dr Brad Nelson au Centre de recherche sur le cancer Deeley, à Victoria, en C.-B.. Pendant mes temps libre, je découvrirai l’île : camping, randonnée et surf.

 

Mon projet se concentrera sur le développement de nouveaux récepteurs chimériques qui délivreront des signaux intracellulaires précis aux lymphocytes T dans l’espoir de favoriser la persistance et la puissance de ces cellules. Je vais concevoir et cloner chaque récepteur en plasmides de transfert lentiviraux, après quoi je procéderai à leur transduction en lignées cellulaires murines. J’effectuerai ensuite des analyses pour déterminer l’efficacité de la transduction, l’expression des molécules de signalisation intracellulaire et la prolifération des cellules. Nous espérons utiliser ces nouveaux récepteurs chimériques pour mettre au point des lymphocytes T plus fonctionnels à des fins cliniques.

 

Ce poste d’été me donnera une occasion unique de développer ma compréhension de l’immunothérapie dans un environnement axé sur les résultats pour les patients. C’est important pour mon objectif à long terme de devenir clinicien-chercheur.

 

 

Nom : Noelle Wilton

 

Superviseure et établissement : David Latulippe et Karina Kawka, Université McMaster

 

Titre du projet : Développement d’une chromatographie sur membrane à alimentation latérale pour la purification des rhabdovirus oncolytiques

 

Profil : Je m’appelle Noelle Wilton et j’entame ma cinquième année d’études en chimie et en génie biologique à l’Université McMaster. Mon programme est adapté de façon à ce que j’étudie les matières requises pour un étudiant de premier cycle en génie chimique tout en suivant simultanément des cours en biologie, en sciences de la santé et en applications du génie en médecine. J’ai choisi ce diplôme en raison de mon intérêt pour le domaine des soins de santé et de mon désir d’appliquer les principes du génie dans ce domaine.

 

Cet été, mon projet portera sur l’étude de faisabilité de la chromatographie sur membrane à alimentation latérale (LFMC) pour la purification du rhabdovirus. Les rhabdovirus sont reconnus depuis peu comme une plateforme prometteuse pour la virothérapie oncolytique. Cependant, les caractéristiques physiques du rhabdovirus, telles que sa forme pointue, sa taille relativement grande et la présence d’une enveloppe, posent de sérieux défis pour obtenir une purification efficace. Le processus LFMC s’est avéré avantageux par rapport aux systèmes de chromatographie sur membre conventionnels lorsqu’il est appliqué à la purification des adénovirus, et notre objectif est d’adapter cette technologie aux rhabdovirus. Plus précisément, mon travail consistera à étudier l’impact de diverses méthodes d’interaction et variables de processus pour évaluer comment cette technologie peut être appliquée aux rhabdovirus. Je suis très enthousiaste face aux défis et aux récompenses que ce poste m’apportera.

 

 

Nom : Paityn Major

 

Superviseure et établissement : Dre Karen Mossman, Université McMaster

 

Titre du projet : Optimisation de l’immunogénicité du BHV-1 oncolytique

 

Profil : Je suis actuellement inscrite à l’Université de Guelph et j’entame ma quatrième année du programme coopératif d’études en biochimie. En plus de mes études universitaires, je suis un membre actif de l’Association des étudiants en biochimie. Dans mes temps libres, j’aime faire de la lecture et de l’escalade, et j’aime découvrir de nouvelles activités et de nouveaux mets délicieux.

 

Cet été, j’aurai le plaisir de travailler au laboratoire de la Dre Mossman à l’Université McMaster. Mes recherches viseront à produire le virus BHV-1 recombinant et exprimant des gènes thérapeutiques clés afin d’augmenter son activité oncolytique. Ce projet contribuera à la recherche continue du laboratoire en immunologie, virologie et thérapie oncolytique.

 

Ce poste m’offrira une excellente occasion de mettre à profit mes compétences et mes techniques en recherche, tant en laboratoire qu’en interaction avec d’autres chercheurs. J’ai hâte d’être exposée au monde de la médecine moléculaire et je suis impatiente de travailler à un projet oncolytique dans le domaine de la recherche sur le cancer. Ces expériences m’aideront dans mes travaux futurs, car j’espère poursuivre mes recherches dans le domaine de la santé et des maladies humaines ou étudier ces questions du point de vue clinique en tant que médecin.

 

 

Nom : Rana Abdelhalim

 

Superviseure et établissement : Dre Natasha Kekre et Dr Michael Kennedy, Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa

 

Titre du projet : Étude de la contribution de la réponse immunitaire antivirale à l’immunogénicité d’un vaccin autologue à cellules infectées (VCI) par le virus oncolytique pour le traitement de la leucémie aiguë

 

Profil : Je termine actuellement ma deuxième année d’études en sciences biomédicales à l’Université d’Ottawa. J’aime beaucoup m’engager sur le campus et dans la communauté. Je suis coordonnatrice de l’engagement communautaire au sein de l’équipe du diabète de l’Université d’Ottawa et je participe de façon continue à l’organisation de la Conférence de santé de l’Université d’Ottawa (CSUO).

 

Mon projet de recherche vise à déterminer si la production d’INF de type I ou d’autres cytokines exprimées différemment est nécessaire pour les propriétés de stimulation immunitaire d’un VCI autologue. En se basant sur les données préliminaires du laboratoire Kekre, on a émis l’hypothèse que l’absorption et la présentation des cellules cancéreuses infectées par les CD sont primordiales pour la génération d’une réponse robuste des lymphocytes T CD8+, qui est essentielle pour l’efficacité des VCI. Des différences significatives dans la production de cytokines immunostimulantes (IFNβ, IL-6 et RANTES) ont été identifiées dans des modèles murins de leucémie, mais on ignore si la production de ces cytokines est un déterminant critique de l’engagement des CD et de l’efficacité du vaccin. Ce stage de recherche estival me permettra d’accroître mes connaissances dans mes domaines d’intérêt, soit la biologie et l’immunologie du cancer. Cette bourse d’études s’inscrit dans mon objectif de poursuivre une carrière de recherche en oncologie et dans le domaine médical.

 

 

Nom : Samantha Dolter

 

Superviseure et établissement : Johnathan Kimmelman, Université McGill

 

Titre du projet : Risques et avantages associés aux nouveaux produits biothérapeutiques contre le cancer

 

Profil : Je m’appelle Samantha Dolter et je termine actuellement mes études de premier cycle en microbiologie et en immunologie à l’Université McGill. Mon projet consiste en une revue systématique et une méta-analyse des essais cliniques de thérapie combinée impliquant des inhibiteurs des points de contrôle immunitaires dans le traitement du cancer, dans le but d’évaluer les avantages et le fardeau pour le patient affecté à un groupe de thérapie combinée. Les inhibiteurs de points de contrôle sont un domaine en pleine expansion de la thérapie du cancer. Il est donc important de prendre du recul et d’évaluer systématiquement les avantages et les inconvénients globaux d’un traitement combiné avec cette catégorie de thérapie biologique. Je suis très enthousiaste à l’idée d’avoir l’occasion d’acquérir de l’expérience en réalisation d’un examen systématique et en analyse de données connexes, une compétence qui s’avérera sans aucun doute bénéfique pour mes projets de recherche futurs.

 

 

Nom : Sarah Keyes

 

Superviseure et établissement : Dr Julian Lum, Université de Victoria

 

 

Titre du projet : Optimisation du métabolisme des lymphocytes T pendant la fabrication des lymphocytes T à CAR

 

 

Nom : Yota Ohashi

 

Superviseure et établissement : Dr Naoto Hirano, Réseau universitaire de santé

 

Titre du projet : Développement d’un traitement T à CAR anti-CD20 optimal pour les tumeurs malignes des lymphocytes B

 

Profil : Je termine ma quatrième année d’études en génétique moléculaire à l’Université de Toronto. Je suis très enthousiaste à l’idée de travailler cet été au laboratoire du Dr Hirano sur le projet de mise au point d’un traitement par récepteurs d’antigènes chimériques T (T à CAR) pour les tumeurs malignes des lymphocytes B. Le laboratoire du Dr Hirano vise à créer de nouvelles stratégies immunothérapeutiques pour guérir le cancer, et j’espère contribuer à faire avancer le domaine de la thérapie T à CAR par mon projet d’été. Dans les tumeurs malignes hématologiques, la rechute de la maladie après un traitement de première ligne ainsi que la fuite de l’antigène lors d’un traitement à CAR anti-CD19 sont des problèmes récurrents qui doivent être réglés. Comme le CD20 est également un marqueur établi pour les lymphocytes B et les cellules malignes des lymphocytes B d’origine, j’ai pour objectif de développer la thérapie T à CAR anti-CD20 optimale en étudiant l’utilisation de différents composants de reconnaissance des antigènes, la région de liaison, et le domaine de signalisation intracellulaire. Après avoir terminé le projet d’été au laboratoire du Dr Hirano, j’aspire à poursuivre une carrière de recherche en immunothérapie en suivant une formation complémentaire aux études supérieures.

 

En plus du travail de laboratoire, je suis un passionné de baseball car je suis à la fois les matchs de la Ligue majeure de baseball et ceux de la Ligue japonaise, en plus de jouer au softball dans les ligues intra-muros pendant l’été.